La colocation à Toulouse : un investissement qui a le vent en poupe !

Cette année encore, Toulouse confirme son statut de ville où il fait bon investir. Avec des prix encore raisonnables pour une métropole de cette ampleur (moyenne de 2500€/m²), Toulouse devient le choix privilégié des investisseurs avisés.

De plus, les taux d’intérêts encore bas viennent renforcer l’attrait des placements immobiliers.

Cela dit, les loyers restent aussi relativement bas. Les rentabilités constatées ne sont donc pas toujours très élevées. Pour un studio dans le centre, il faut compter 3 à 4 % par an maximum. Et plus on s’approche des quartiers recherchés, plus les prix flambent et plus les rentabilités baissent..

Certains investisseurs se sont alors tournés vers la location de courte durée, marché largement dominé par la plateforme AirBNB. Cette formule offre certes, des rentabilités bien plus élevées, répond à une demande différente de celle des hôtels, mais elle est aussi beaucoup plus contraignante (gestion des calendriers, entrées, sorties, ménages, etc..) et de plus en plus encadrée !

 

Du fait de l’attractivité de la ville, du manque de logement, et des nouvelles tendances en termes d’habitat (voir notre article sur le coliving), la colocation se démarque comme LA solution la plus simple et la plus rentable.

En effet, alors qu’à Toulouse, il est difficile de trouver un logement individuel vide à moins de 500 €/mois, une chambre meublée dans une belle maison en colocation, bien placée, se loue environ 450€. Le choix est vite fait !

Le fait de louer à la chambre permet à la fois d’augmenter la rentabilité, mais aussi de réduire les risques d’impayés. En effet, il est relativement peu probable que tous les colocataires, en même temps, ne paient plus leur loyer.

Prenons l’exemple d’un T4, loué 800 € dans le cadre d’une location traditionnelle, il pourra être loué 400€ x 3 soit 1200 €/mois en colocation ! Les rentabilités moyennes constatées pour les biens en colocation avoisinent les 7% !

 

Du point de vue de la fiscalité, c’est également un placement intéressant.

  • En optant pour le statut de loueur meublé non professionnel (LMNP), vous ne serez imposés que sur la moitié de vos revenus locatifs, c’est le régime de la micro entreprise.
  • Ou alors , si vous améliorez votre logement en faisant des travaux, il est possible de les déduire des loyers perçus en s’inscrivant au régime du réel simplifié. Et enfin, en déduisant les frais d’achat, il est possible de réaliser un déficit foncier, qui viendra réduire la base de revenus imposables.

Pour terminer, l’offre de colocation est nettement inférieure à la demande. Car au delà des étudiants, de nombreux actifs (jeunes et moins jeunes) optent pour cette solution plus simple et plus fluide, qui correspond mieux aux évolutions des modes de vie (mutation, 1er emploi, transition etc..)

 

Et vous, seriez-vous prêts à vous lancer dans cette voie ?