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Estimation immobilière : connaitre les bonnes techniques

Afin d’estimer correctement son bien immobilier, il y a plusieurs choses à savoir : D’abord : la question du prix Il faut savoir que le prix est composé  à 50% par son environnement et à 50% par le bien lui-même. Quand on parle de l’environnement, il s’agit de l’immeuble lui-même, de ses alentours directs, puis du quartier de façon plus générale (commerces, transports, sociologie, etc.). Il faut aussi prendre en compte l’offre de biens comparables actuellement en vente et examiner si la demande est forte pour ce type de biens, et à quel budget. Enfin la conjoncture locale et nationale (taux de crédit, taux de chômage, etc..) Ensuite le bien en lui-même : surface, nombre de pièces, annexes (balcon/jardin/terrasse/garage, etc.) l’état d’entretien, les prestations, l’agencement, et aussi l’étage (généralement, plus c’est haut plus c’est cher) et enfin, l’état d’occupation, c’est à dire si vous vendez le bien loué ou vide. Si le bien est vendu loué, il s’adressera à un public d’investisseurs, qui est plus sensible à la rentabilité, et donc le prix devra-t-être en conséquences. Plusieurs méthodes permettent d’estimer un bien immobilier : Il est à noter qu’il faut combiner plusieurs méthodes pour obtenir une estimation plus fine. La méthode d’évaluation dite du « prix au m2 » C’est la méthode la plus simple, mais aussi la moins précise ! En effet il s’agit de moyennes, et comme aucun bien immobilier n’est rigoureusement le même qu’un autre, ce n’est pas vraiment fiable. Cela donne un point de départ, mais il faut garder en tête que plusieurs paramètres peuvent venir biaiser les chiffres : s’il y a peu de ventes récentes, il est impossible d’obtenir une moyenne fiable si le secteur est hétérogène, les chiffres ne veulent rien dire les atouts et faiblesses de chaque bien ne sont pas pris en compte, or l’état d’entretien et les prestations peuvent faire énormément varier le prix d’un bien. lire notre article sur les prix au m2 La méthode d’estimation par la rentabilité Cette méthode s’applique aux biens vendus loués ou aux biens qui sont destinés à une mise en location. On vise alors un public d’investisseurs. Pour calculer la rentabilité brute d’un bien immobilier, le calcul est le suivant : Loyer annuel / Prix d’achat = taux de rentabilité. À Toulouse, il faut compter en moyenne 5% mais là aussi, cela est variable en fonction des quartiers. En centre ville et dans le neuf, on sera le plus souvent en dessous des 4%. dans les quartiers moins recherchés ou des des biens plus grands, l’attente sera de l’ordre de 7 à 10% pour séduire les investisseurs. De manière générale, les prix de vente varient plus que les loyers, c’est pourquoi certains quartiers moins demandés offrent une rentabilité bien supérieure. Tout dépend des objectifs visés. Lire notre article sur l’investissement Les loyers moyens sont de 12€/m2. Là encore, bien plus élevés en hypercentre et sur les petites surfaces. La méthode d’estimation pondérée Cette méthode consiste à partir des prix au m2, et à appliquer des coefficients de pondération en fonction des qualités et des défauts du bien. Les points de décote sont, le plus souvent : rez-de-chaussée, pas d’ascenseur, proximité d’un axe passant, couloir aérien, fréquentation de l’immeuble, transports éloignés, nuisances etc.. Les éléments de surcôte : dernier étage, vue dégagée, proximité d’une école réputée, rénovation récente et décoration soignée, présence d’un bel extérieur, aménagements qualitatifs, etc. Il est difficile d’être objectif sur les qualités et les défauts d’un bien immobilier auquel on est attaché. En effet, au delà d’un simple « produit », un appartement ou une maison revêt un aspect humain et subjectif très important. la méthode par comparaison Il s’agit ici de comparer à la fois les biens similaires récemment vendus (moins d’un an) ET les biens similaires actuellement en vente, puisque c’est eux qui vont constituer votre concurrence directe. Il est important de bien connaitre et se positionner par rapport à cette concurrence. Ensuite il est capital de connaître son public / sa cible : les acheteurs Il faut être conscient du public à qui votre bien s’adresse, quels sont les projets des potentiels acheteurs?, leur budget?, leurs besoins?, leurs professions? Il faut que votre bien et ses prestations soient en adéquation avec les attentes des acheteurs, sinon, il se situe « hors marché » dans le jargon professionnel. Quel délai compter ? À Toulouse, le délai moyen est d’environ 100 jours. Là encore, c’est une moyenne, cela peut être beaucoup plus rapide sur des biens recherchés et/ou en excellent état, et plus long pour des produits moins demandés. On constate une négociation plus importante avec le temps, ainsi, sur des délais courts (moins de 3 mois) la négociation est en moyenne de 5%, entre 3 et 6 mois, elle passe à 10%, et au delà de 6 mois, elle peut aller jusqu’à 20% ! d’où l’importance d’avoir une vraie stratégie de vente et de réajuster si nécessaire! Connaître le marché est également un point important Votre bien se situe au carrefour des attentes des acheteurs, de VOS attentes, ET il doit se positionner en cohérence avec les biens similaires récemment vendus ET les biens similaires actuellement en vente. Pour toutes ces raisons, il nous semble indispensable de recourir à un professionnel pour obtenir une estimation fiable et objective de votre bien. Rappelons qu’une estimation est valable à un instant T et que seule la mise en vente déterminera le prix final! Le marché immobilier évolue très rapidement et au sein même du marché immobilier « global » il y a une multitude de « micro-marchés » (quartiers / rues / résidences parfois) qui évolue encore plus vite et parfois dans des directions opposées ! Nous espérons que cet article vous permet de mieux cerner les tenants et les aboutissants de la fixation d’un prix en immobilier, et nous nous tenons bien sûr à votre disposition si vous avez un projet de vente !  

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Bientôt le salon de l’immobilier du Printemps à Toulouse

Si vous avez un projet immobilier, le salon de l’immobilier du Printemps, du 22 au 24 Mars, reste un rendez-vous incontournable pour s’informer sur les taux, mais aussi la fiscalité et le marché de l’immobilier en général! Vous y trouverez : Plus de 90 exposants, professionnels du secteur de l’immobilier en Occitanie Des conférences gratuites sur les thématiques de l’investissement immobilier, le neuf, la fiscalité mais aussi le marché de l’immobilier à Toulouse et la métropole Des consultations d’experts gratuites, pour obtenir des conseils personnalisés La 5ème édition du « Concours de la Maison de Demain » Le Concours de la Maison de Demain, initié par le salon de l’immobilier de Toulouse, est organisé en partenariat avec la LCA-FFB (Les Constructeurs Aménageurs de la Fédération Française du Bâtiment). Ce sont les visiteurs qui désignent la maison la plus innovante et esthétique : le gagnant de cette première édition 2019 sera révélé à la fin du salon. Les constructeurs de maisons individuelles sont appelés à candidater. Inscriptions : annick.vidal@comexposium.com Le salon est ouvert tous les jours de 10h00 à 19h00 et le vendredi jusqu’à 21h00, téléchargez vos invitations ici!

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Les prix de l’immobilier ont augmenté à Toulouse en 2018, qu’en sera t’il en 2019?

Selon le baromètre LPI seloger, le prix moyen des appartements dans l’ancien sur le dernier trimestre 2018 s’élève à Toulouse, à 3189 € le m², en hausse de 6,1 % sur 3 mois mais avec une certaine modération sur les prix affichés (+1,6 %). Une autre étude, révélée par le site MeilleursAgents, indiquait cette fois que Toulouse était la ville de France qui avait connu la plus forte hausse des prix de l’immobilier l’an dernier avec une augmentation de 6,3 % (2914 € le m² en moyenne). D’après les chiffres des notaires, il faut compter en moyenne 2 500 euros du mètre carré pour un appartement à Toulouse. Des moyennes qui sont donc à relativiser.. de 2500€ à 3189€/m² : choisissez votre camp! Nous avions rédigé un article au sujet des limites des prix moyens de l’immobilier. Une chose est certaine : les prix de l’immobilier et le volume des ventes ont encore augmenté en 2018 à Toulouse. Cette dynamique s’appuie bien sûr une démographie croissante et une conjoncture très favorable, avec des taux d’intérêt qui restent encore très bas et favorisent les emprunts, mais aussi sur l’attractivité même de Toulouse, ville qui séduit. À elle seule, l’agglomération toulousaine capte 80 % des près de 20 000 ventes effectuées dans le département chaque année. Une pression de la demande qui s’accompagne inévitablement d’une hausse des prix. Cependant les écarts restent toujours très important selon les quartiers Si au global, les prix ont augmenté en 2018 pour les appartements anciens, il est des quartiers où la hausse a été plus conséquente , notamment en hypercentre où les prix peuvent aller jusqu’à + 10%, un peu moins dans les quartiers de faubourg et les chiffres sont même négatifs dans les quartiers populaires comme le Mirail ou la Reynerie. Ces disparités se confirment d’ailleurs d’année en année. Côté maisons anciennes, les prix ont augmenté de 0,9% en un an à Toulouse. Selon les Notaires de France, le prix de vente médian d’une maison ancienne est de 320 000 euros à Toulouse et de 280 000 euros sur le secteur toulousain. Dans le détail, c’est à Balma que le prix de vente médian est le plus cher, à 450 000 euros. Me Pailhès précise : »Balma est en quelque sorte touchée par la contagion des prix de Côte pavée. Suivent Castanet-Tolosan, Tournefeuille et Escalquens. Toulouse se situe à la cinquième place. » Le neuf se porte bien à Toulouse Le prix de vente moyen du neuf est de 3845 euros le m2 (en hausse de 4,6%), à Toulouse. Il grimpe plus vite que dans l’ancien. Ceci est dû à la hausse des prix des matériaux, des prestations des artisans et du prix du foncier. Pour autant, le marché du neuf se porte bien dans la Ville rose, soutenu par des dispositifs comme la loi Pinel, les prêts à taux zéro ou le fait que Toulouse Métropole impose désormais aux constructeurs de proposer des logements à prix maîtrisés dans leurs programmes. Quelles perspectives pour l’immobilier à Toulouse en 2019 ? D’après le site Meilleursagents, l’indice de tension immobilière à Toulouse est de 30 % (c’est-à-dire que la demande de logement est supérieure de 30 % à l’offre), Ainsi, les biens mis en vente à Toulouse mettent en moyenne 78 jours pour trouver acquéreur, ce qui est plutôt court. Ce délai est cependant à nuancer en fonction des secteurs moins recherchés où parfois les biens restent plus d’un an à la vente! Dans ce contexte et après une année de hausse, il nous semble que la tension va se maintenir modérément (entre 2 et 4%) sur les secteurs et les biens les plus recherchés et que l’écart va continuer à se creuser sur les quartiers dits populaires.  

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Location meublée de tourisme (AirBnB ou autres) la législation change au 1er janvier 2019 !

À Toulouse, comme dans toutes les grandes villes, nombreux sont les investisseurs immobilier ayant succombé aux attraits de la location de courte durée (type Air BnB). Simple chambre en plus dans la maison ou véritable business, cette « niche » présente des contraintes, mais aussi de nombreux atouts, alors, devant l’engouement provoqué par ce type d’investissement, et face aux dérives de cette formule – il devient de plus en plus dur de trouver un studio pour une location « classique » – la nouvelle loi Elan encadre désormais cette pratique. Ainsi, à compter du 1er janvier 2019, les propriétaires de meublés de tourisme auront l’obligation d’obtenir un numéro d’enregistrement auprès de la mairie, et de le faire figurer sur toutes leurs annonces, sous peine de sanctions pouvant aller jusqu’à 50 000 € ! comment ça marche? Si vous souhaitez louer votre résidence principale : en totalité : la location est limitée à 120j / an partiellement : il n’y a pas de limitation (Cf: https://www.airbnb.fr/help/article/1383/responsible-hosting-in-france) Un numéro d’enregistrement est obligatoire (démarche en ligne sur https://taxedesejour.toulouse-metropole.fr/). Si vous souhaitez louer un logement qui n’est pas votre résidence principale, vous devez : 1 – faire une demande d’autorisation de changement d’usage – (en remplissant un formulaire téléchargeable en ligne sur le site https://taxedesejour.toulouse-metropole.fr/) Le formulaire devra être renvoyé accompagné de justificatifs, par courrier ou par mail 2 – Obtenir un numéro d’enregistrement (démarche en ligne sur https://taxedesejour.toulouse-metropole.fr/) Concernant la Taxe de séjour, certaines plateformes – les plus connues (Airbnb, Abritel, Homelidays, etc..) – la collectent directement, pour les autres sites de réservation, ou bien si vous louez par vous-même, vous devrez alors la collecter et réaliser votre déclaration de taxe de séjour (toujours sur https://taxedesejour.toulouse-metropole.fr/). Attention : s’il s’agit d’un logement social : c’est interdit ! Pour plus d’informations : Toulouse.fr Airbnb.fr

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Achat immobilier : suivez votre intuition !

En travaillant dans l’immobilier, nous bénéficions d’un « observatoire des comportements » en matière de prise de décision immobilière. En effet, cela dépend des caractères, mais il est fréquent de constater certains comportements récurrents. Dans le cadre d’un achat immobilier, et c’est encore plus vrai en ce qui concerne le premier achat de résidence principale, il est courant de constater le phénomène suivant : « un achat immobilier, c’est un acte important dans une vie ! parmi les plus importants même (devant le mariage) !» Qui n’a pas entendu cette phrase de la part de ses proches ?! Avant de se lancer, la prudence est donc de mise ! Le comportement le plus fréquent est donc de vouloir rationaliser son achat. La raison prend le pas sur « le cœur » ou l’intuition. On va acheter « avec sa tête » ! C’est donc parti pour le brainstorming de tout ce qu’on veut ABSOLUMENT que le futur logement comporte comme caractéristiques: Grand salon, cuisine ouverte (ou séparée par une verrière), X chambres, un garage, un jardin (exposé sud), proche de tout (écoles, commerces, transports, etc..), pas, ou alors très peu, de travaux à prévoir, de la luminosité, de la fonctionnalité, pas de bruit, etc, etc.. Le tout dans un budget « raisonnable » … Ok, les recherches commencent, et oh surprise, rien ne correspond parfaitement… il va falloir faire des concessions… Reprise des critères, avec coefficients de pondération pour les plus organisés. Il faut tout mettre en balance pour être sûr de ne pas se tromper. Si par miracle, certains biens correspondent à peu près à tout, alors il va falloir les départager. C’est parti pour les tableaux comparatifs « avantages/inconvénients » « opportunités/contraintes » ou SWOT pour les intimes.. Un bien est choisie.. c’est la revisite (si il ne s’est pas vendu entre temps..) – et puis…. non en fait on n’est pas complètement convaincu… alors on demande aux amis, à la famille… ERREUR ! on fait chiffrer les travaux par un architecte… (et on multiplie par 2 le montant, qu’on enlèvera du prix de vente pour être sûr, mais vraiment SÛR de ne pas se tromper). oh surprise… l’offre ne passe pas. « de toutes façons, à ce prix-là, ce n’est pas intéressant ».. La recherche immobilière, de cette manière, peut prendre du temps.. beaucoup de temps.. Alors oui, un achat immobilier est un acte important. Mais il ne faut pas attribuer au futur logement des propriétés qu’il n’a pas « intrinsèquement » – comme le pouvoir de rendre plus heureux.. Le foyer c’est VOUS qui le faites ! une maison, c’est une maison, que le salon soit grand ou petit, que la cuisine soit séparée ou pas, il est possible d’apprécier un lieu, de l’aménager à sa guise et d’y passer d’excellents moments. « Maison de paille où l’on rit, vaut mieux que palais où l’on pleure » –  Proverbe chinois Se limiter à un secteur très restreint peut également vous faire passer à côté d’un bien très agréable situé à quelques dizaines de mètres… Alors des critères.. bien sûr, mais avec une marge large ! Laissons-nous « surprendre ». Certains critères « obligatoires » au début paraissent accessoires plus tard.. et certains sont également fixés arbitrairement, soit par méconnaissance d’un secteur géographique, soit parce que « c’est bien » d’avoir telle ou telle caractéristique dans son logement – même si ça ne correspond pas à notre mode de vie… Il en va de même pour le critère du budget, il est parfois possible de « rajouter » un peu en allongeant la durée du prêt, en louant une partie du bien convoité, ou en vendant sa seconde voiture devenue inutile! Ou même avoir la bonne surprise de négocier un bien moins chez que prévu! (si, si, ça existe!!) Enfin, un bien comportant tous les critères attendus, vous laissera parfois de glace.. Notre conseil : laissez-vous guider par votre intuition ! le critère primordial d’un logement, c’est de s’y sentir BIEN ! Laissez-vous surprendre par des biens que « sur le papier » vous n’auriez même pas visité! c’est souvent ceux-là qui déclenchent des coups de cœur ! N’hésitez pas à sortir de votre « zone de confort », de ce que vous connaissez déjà (un quartier, un type de bien, etc..) vous pourriez être agréablement surpris ! Ainsi, pourquoi pas acheter plus grand? Plus loin? Plus près? Plus petit? A plusieurs? A rénover? On vous donne quelques idées dans cet article  pour « think out of the box » comme on dit!:))

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Focus sur le développement de l’agriculture urbaine à Toulouse

Récemment, nous avons eu le plaisir d’échanger avec Florian Champoux, de Terreauciel, Bureau d’étude toulousain en agriculture urbaine. Leurs principales missions sont l’étude et l’implantation de projets d’agriculture urbaine pour les collectivités et professionnels partout en France. Tout d’abord, qu’est ce que l’agriculture urbaine? Il s’agit d’élevage ou de culture en milieu urbain ou périurbain, qui pour vocation de toucher les citadins en les sensibilisant et/ou en les impliquant dans le projet. L’objectif premier n’est donc pas économique mais bien pédagogique. Les modèles économiques sont divers, mais la plupart ne vivent pas que de la production. Les surfaces de cultures étant limitées en ville, soumises à des ombres portées ou à la pollution, il est également nécessaire de créer un lien avec les espaces ruraux environnant. Tout l’objectif est donc la reconnexion des espaces urbains, périurbains et ruraux. Tous les acteurs de l’économie locale sont concernés : commerçants, transporteurs, associations, collectivités et bien sûr consommateurs, en réalité moteurs des innovations. Il existe également des mouvements citoyens comme « les incroyables comestibles », l’idée est de planter partout où c’est possible et à disposition de tous. Au delà de l’alimentation, il s’agit de se réapproprier l’espace et la nature. Alors, est-ce vraiment possible de faire pousser des légumes en ville à Toulouse? Comment procéder? Voici quelques exemples de réalisations à Toulouse Des jardins collectifs, en copropriété, sont aménagés à l’initiative des bailleurs sociaux ou de promoteurs privés, voici quelques exemples :   Crédit photo : Terreauciel Crédit photo : Terreauciel – Gratentour Promologis Crédit photo : Terreauciel – La-Gloire Crédit photo : Terreauciel – CA immo – Parc Angely   Egalement, des entreprises font réaliser des aménagements sur leurs terrains professionnels comme le Crédit Agricole Immobilier à Borderouge (aquaponie, ruches, poulailler, fruitiers et production de houblon géré par des clubs de salariés. Crédit photo : Terreauciel – CA Immo poulailler Crédit photo : Terreauciel – CA Immo potager L’entreprise Miidex à Tournefeuille a également installé des serres Bio et un poulailler sur son parking. Le concept fonctionne puisque l’an prochain, ils pourront proposer 5€/jour de produits bio aux salariés! Dans les écoles, Ehpad, hôpitaux etc.. Bref dans tout lieux collectifs avec des personnes impliquées. Enfin, chacun d’entre-nous, sur son balcon, dans son jardin œuvre à la biodiversité en cultivant son espace notamment grâce à la permaculture. Pour aller plus loin : La ville de Toulouse à crée le projet « dessine-moi Toulouse » où il est question de réhabiliter certains lieux ou terrains inoccupés, la nature y aura une place de choix. Pour vous inspirer, vous pouvez également visionner le replay le documentaire « Après-demain »  jusqu’au 18 décembre ! 

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Quels sont les diagnostics immobiliers obligatoires à faire réaliser pour vendre ou louer un bien?

Que vous soyez futur vendeur immobilier ou bailleur, vous devez fournir au futur occupant de votre logement un certain nombre de diagnostics immobiliers obligatoires sans quoi le contrat peut être annulé. Pourquoi ces diagnostics? Informer les futurs acheteurs et locataires : L’objectif principal est d’informer les futurs occupants d’un bien. La superficie, les risques naturels possibles, la dépense énergétique du bien… toutes ces informations, entre autres, sont disponibles dans un seul et même dossier pour mieux préparer son installation. Assurer la sécurité et la santé des futurs occupants : Le plomb et l’amiante sont des matériaux qui peuvent être nocifs qui ont été longtemps utilisés dans le bâtiment. Ils peuvent être encore présents dans les biens construits avant 1949 et 1997, le plus souvent sans danger. Les acheteurs ou locataires doivent être au courant de l’éventuelle présence de ces matériaux. Les diagnostics gaz et électricité, eux, permettent de s’assurer que les installations de plus de 15 ans sont conformes et en bon état de fonctionnement. Protéger le propriétaire bailleur/vendeur : Le dossier de diagnostics techniques ne protège pas que le futur occupant d’un bien : il est également indispensable pour assurer la bonne foi du propriétaire qui vend ou qui loue son bien. Grâce à l’édition d’un DDT, il prouve sa bonne foi et assure sa transaction en étant transparent sur l’état du bien qu’il vend/loue. Quels diagnostics? Le type de diagnostic a réaliser dépend du statut juridique du bien (en copropriété ou non), de l’année de construction, des ses équipements (gaz etc…), de sa nature (bâti, habitable etc..). Dans tous les cas, pour être valides les diagnostics doivent être au nom du propriétaire-vendeur, réalisés par un expert certifié et valides au moment de la signature. Le diagnostic de performance énergétique : Pour toute vente et location d’un bien disposant d’un système de chauffage. L’Ernt : Etat des risques naturels et technologiques : Pour toute vente ou location de logement bâti ou non. Les termites : En cas de vente d’un bien dans une zone géographique ayant fait l’objet d’un arrête préfectoral. Métrage : La loi carrez : Pour toute vente d’un lot en copropriété ou loi Boutin : Pour toute mise en location. L’amiante : Pour la vente de tout bien dont le permis de construire a été délivré après 1997. Le Plomb : Pour la vente ou la location d’un logement construit avant le 1er janvier 1949. L’Etat de l’installation intérieure électrique : Pour toute vente et location dont l’installation à plus de 15 ans. Le diagnostic gaz : Pour toute vente et location dont l’installation à plus de 15 ans. Pour s’y retrouver, nous vous proposons ce tableau récapitulatif. A quel coût? Les tarifs sont variables d’un expert à l’autre. par ailleurs ils dépendent de la taille du logement et du nombre de diagnostics à effectuer. Comptez à minima 150€ pour un studio récent, jusqu’à 700€ sur une maison de grande taille construite avant 1949! Quel professionnel? Nous vous recommandons vivement de vous faire recommander un professionnel par votre agent immobilier, qui le plus souvent bénéficie de tarifs préférentiels ou peut même vous les offrir dans le cadre d’un mandat exclusif.    

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Toulouse se dote d’un véritable Central Parc ! Le grand Parc Garonne !

Parmi les grands projets de la ville de Toulouse, il en est un qui nous tient particulièrement à cœur, non seulement parce qu’il est à proximité de chez nous, mais aussi parce qu’il s’inscrit dans une démarche de développement durable, de protection de l’environnement et de la biodiversité, et de qualité de vie. Il s’agit du grand Parc Garonne, de l’aménagement de l’île du Ramier et des îlots attenants.   En effet, aujourd’hui l’aménagement de l’île est assez hétéroclite, avec une déchetterie, de grands parkings, les restaurants l’émulation nautique et le Rowing, pour la partie nord. Puis au centre, la piscine nakache, le parc des expositions et ses hangars relativement vétustes et quelques infrastructures sportives, ainsi que les locaux du TUC et de l’Aviron Toulousain, le restaurant « la centrale » et enfin plus au sud, la cité universitaire, des terrains de sports  et une résidence. L’île est parsemée d’anciens bâtiments industriels, pour certains classés ou présentant des qualités architecturales et/ou historiques (ils seront pour la plupart conservés et valorisés), mais il y a aussi de nombreuses zones sauvages. C’est donc une bonne nouvelle que cet immense espace naturel, au cœur de Toulouse devienne un poumon vert et un endroit propice à la détente et à la pratique d’activités de plein air ! Dans les grandes lignes, l’idée est que les toulousains se réapproprient ces espaces, jadis utilisés pour des kermesses et autres rassemblements populaires et culturels, et devenus avec les années des espaces fourre-tout.. On pourra y trouver entre autres Des jardins partagés dans un éco-parc Cité des sports extrêmes, recyclerie, « plaine des jeux » Une « place du Capitole » à la place du parc des Expositions Un espace culturel dans L’ancien resto U En résumé : des restaurants, guinguettes, aires de jeux pour les enfants, belvédères sur la Garonne, grandes allées ombragées, espaces culturels, infrastructures sportives et ludiques, espaces municipaux, le tout relié à la ville par 4 nouvelles passerelles. La vidéo ci-dessous est très bien faite et vous donnera une idée de ce qui nous attend pour les années à venir !

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La colocation à Toulouse : un investissement qui a le vent en poupe !

Cette année encore, Toulouse confirme son statut de ville où il fait bon investir. Avec des prix encore raisonnables pour une métropole de cette ampleur (moyenne de 2500€/m²), Toulouse devient le choix privilégié des investisseurs avisés. De plus, les taux d’intérêts encore bas viennent renforcer l’attrait des placements immobiliers. Cela dit, les loyers restent aussi relativement bas. Les rentabilités constatées ne sont donc pas toujours très élevées. Pour un studio dans le centre, il faut compter 3 à 4 % par an maximum. Et plus on s’approche des quartiers recherchés, plus les prix flambent et plus les rentabilités baissent.. Certains investisseurs se sont alors tournés vers la location de courte durée, marché largement dominé par la plateforme AirBNB. Cette formule offre certes, des rentabilités bien plus élevées, répond à une demande différente de celle des hôtels, mais elle est aussi beaucoup plus contraignante (gestion des calendriers, entrées, sorties, ménages, etc..) et de plus en plus encadrée !   Du fait de l’attractivité de la ville, du manque de logement, et des nouvelles tendances en termes d’habitat (voir notre article sur le coliving), la colocation se démarque comme LA solution la plus simple et la plus rentable. En effet, alors qu’à Toulouse, il est difficile de trouver un logement individuel vide à moins de 500 €/mois, une chambre meublée dans une belle maison en colocation, bien placée, se loue environ 450€. Le choix est vite fait ! Le fait de louer à la chambre permet à la fois d’augmenter la rentabilité, mais aussi de réduire les risques d’impayés. En effet, il est relativement peu probable que tous les colocataires, en même temps, ne paient plus leur loyer. Prenons l’exemple d’un T4, loué 800 € dans le cadre d’une location traditionnelle, il pourra être loué 400€ x 3 soit 1200 €/mois en colocation ! Les rentabilités moyennes constatées pour les biens en colocation avoisinent les 7% !   Du point de vue de la fiscalité, c’est également un placement intéressant. En optant pour le statut de loueur meublé non professionnel (LMNP), vous ne serez imposés que sur la moitié de vos revenus locatifs, c’est le régime de la micro entreprise. Ou alors , si vous améliorez votre logement en faisant des travaux, il est possible de les déduire des loyers perçus en s’inscrivant au régime du réel simplifié. Et enfin, en déduisant les frais d’achat, il est possible de réaliser un déficit foncier, qui viendra réduire la base de revenus imposables. Pour terminer, l’offre de colocation est nettement inférieure à la demande. Car au delà des étudiants, de nombreux actifs (jeunes et moins jeunes) optent pour cette solution plus simple et plus fluide, qui correspond mieux aux évolutions des modes de vie (mutation, 1er emploi, transition etc..)   Et vous, seriez-vous prêts à vous lancer dans cette voie ?

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La carte des prix de l’immobilier, secteur Rive Gauche à Toulouse en 2018

Vous êtes vendeur immobilier ou un acheteur qui souhaite s’informer? Les quartiers de St Cyprien,  Fer à Cheval, Bourrasol, Croix de Pierre, La Pointe, Fontaine Lestang, Papus, Faourette ou encore les Arènes sont nos spécialités. Nous avons passé au crible notre secteur de prédilection, très complexe et varié, afin de vous concocter une carte des prix moyen de l’immobilier sur la Rive Gauche en tenant compte de tous les sous-secteur. Ces prix moyens sont valables pour les appartements aux « typologies standards », si votre bien est atypique (grande surface, peu de chambres etc..), il nécessitera une étude personnalisée approfondie. Bien loin des moyennes larges que nous avons pu consulter dans la presse récemment, nous faisons ici état de la réalité et des spécificités du terrain que nous constatons tous les jours. Concernant les maisons, nous avons dressé un portrait type avec une enveloppe moyenne en fonction des secteurs. Nous avons choisi la typologie la plus recherchée, à savoir une maison 4 pièces avec jardin de 100m2 environ rénovée : St Cyprien : 550 000€ Fer à cheval : 500 000€ Croix de Pierre : 450 00€ La Pointe : 350 000€ Fontaine Lestang : 350 000€ Arènes : 380 000€ Bourrasol : 450 000€ La faourette/Mermoz : 250.000€/300.000€ Papus : 220.000€    

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